Boule bretonne. Concours de haut niveau
Les huit champions de boule bretonne du pays de Morlaix ont disputé des demi-finales et une finale de haut niveau technique
Le concours de boule bretonne, organisé, samedi, sur les allées couvertes de Gallouédec, par l'amicale bouliste saint-martinoise, a fait le plein avec 21 équipes engagées. Les meilleurs joueurs de la région étaient présents et les parties furent très disputées, donnant lieu à des scénarios improbables et de réels moments de suspense.
Cinq cylindres de plomb logés dans la masse
La boule plombée du pays de Morlaix est la plus singulière des différents types de boules bretonnes. Sa principale caractéristique est de comporter cinq cylindres de plomb logés dans la masse. Les quatre premiers sont disposés sur le chemin de roulement pour lui permettre d'aller droit et de guider la boule. Mais ce jeu d'adresse est plus subtil... Le cinquième plomb, appelé le « fort », est incrusté d'un côté de la bande de roulement. Son rôle est primordial et permet à la boule de virer lorsque sa vitesse diminue. Ce plomb déséquilibre la boule vers la gauche ou la droite, en fonction de la direction souhaitée par le joueur. À l'opposé du « fort », une cavité non plombée, appelée le « contre fort », est pratiquée pour accentuer l'effet du plomb opposé.
Pratiquée par tous
La boule bretonne plombée du pays de Morlaix ne nécessite aucune force physique particulière et peut être pratiquée par tous, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes. Le binôme vainqueur du jour est composé de Bernard Sinoquet et Franck Monfort, vainqueurs, en finale, de Janine Corvellec, associée à Pierre Goyat. La petite finale a été emportée par Marc Bontemps et Adelki Urli, devant Pierre Masson et Daniel Giguel.
Le concours de boule bretonne, organisé, samedi, sur les allées couvertes de Gallouédec, par l'amicale bouliste saint-martinoise, a fait le plein avec 21 équipes engagées. Les meilleurs joueurs de la région étaient présents et les parties furent très disputées, donnant lieu à des scénarios improbables et de réels moments de suspense.
Cinq cylindres de plomb logés dans la masse
La boule plombée du pays de Morlaix est la plus singulière des différents types de boules bretonnes. Sa principale caractéristique est de comporter cinq cylindres de plomb logés dans la masse. Les quatre premiers sont disposés sur le chemin de roulement pour lui permettre d'aller droit et de guider la boule. Mais ce jeu d'adresse est plus subtil... Le cinquième plomb, appelé le « fort », est incrusté d'un côté de la bande de roulement. Son rôle est primordial et permet à la boule de virer lorsque sa vitesse diminue. Ce plomb déséquilibre la boule vers la gauche ou la droite, en fonction de la direction souhaitée par le joueur. À l'opposé du « fort », une cavité non plombée, appelée le « contre fort », est pratiquée pour accentuer l'effet du plomb opposé.
Pratiquée par tous
La boule bretonne plombée du pays de Morlaix ne nécessite aucune force physique particulière et peut être pratiquée par tous, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes. Le binôme vainqueur du jour est composé de Bernard Sinoquet et Franck Monfort, vainqueurs, en finale, de Janine Corvellec, associée à Pierre Goyat. La petite finale a été emportée par Marc Bontemps et Adelki Urli, devant Pierre Masson et Daniel Giguel.
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